Amateurs de gros seins

ADGS, pour répondre à ta question (sacré coup avec ses gros 110),
Nicole était une très gentille fille et une bonne baiseuse, dotée d'une paire d'obus terrible. Elle prenait un réel plaisir à niquer, elle aimait le langage cru et direct, ainsi que les compliments sur ses gros nichons. Mais il ne faut pas croire qu'elle baisait avec n'importe qui, très loin de là. Son mari était la priorité, puis une ou deux petites aventures, dont j'ai eu la chance de faire partie.

A l'âge de 17 ou 18 ans, Nicole avait déjà des super nichons. Elle avait beau mettre des vêtements très amples, ses deux obus frappaient immédiatement les regards. Un jour, elle se fait suivre en rue par un groupe de mecs, qui ne lui voulaient que...du bien. Apeurée, elle se réfugia dans une boulangerie, expliqua toute l'affaire, et fut finalement "réconfortée" dans une pièce annexe par... le fils de la maison. Il ne baisa pas Nicole, mais profita allègrement de ses nichons extraordinaires. Nicole finit par lui mettre la main dans le calebard et eut ainsi pour la première fois en mains la grosse trique d'un mec.

A l'armée, grâce à Nicole, j'ai tiré plus de coups de queue que de coups de carabine. C'est bien plus pacifique et bien plus agréable... Quand Nicole me quittait après une bonne baise et rentrait chez elle, il lui arrivait de se faire sauter par son mari. Ah, elle avait parfois des journées bien "remplies", cette gentille Nicole...

Quand on a baisé pour la dernière fois, juste avant ma démobilisation, Nicole m'a offert son soutif en souvenir, en me disant: "Quand tu te rappelleras ce qu'il y avait dedans, tu repenseras à nos aventures..."
Nicole n'était pas adepte des "gâteries", style pipe ou cravate (elle n'aimait pas cela), mais quand je la sautais, j'avais toujours ses gros nichons bien en mains et cela augmentait fameusement mon plaisir...

Quand j'envisageais un petit rendez-vous avec Nicole, elle me disait: "Toi, tu as une idée derrière la tête...". Et je lui répondais: "Avec toi, les idées, je les ai surtout dans le pantalon..."
Lors des "préliminaires" avec Nicole, je lui roulais des pelles et je lui pelotais ses gros nichons. Pendant ce temps-là, en bonne pouliche baiseuse, elle prenait ma trique en main et me sentait les roustons. Ah, que de beaux souvenirs... Après mon service militaire, je ne l'ai malheureusement plus jamais revue. Peut-être a-t-elle connu un autre soldat, pour lui faire profiter de ses obus exceptionnels, qui sait...

Un jour où le mari de Nicole était en mission, on en avait profité pour aller baiser chez la tante de Nicole. Elle aussi adepte de la bagatelle dans sa jeunesse, la tante ne reprochait pas à Nicole de tromper son mari. Elle lui disait même: "Prend du bon temps, ma belle, rien ne vaut un bon coup de queue..."

Un jour où je dansais avec Nicole lors d'une soirée à l'armée, j'eus la trique au bout d'un court moment. Elle me dit: "Vingt dieux, tu m'annonces directement la couleur..."

Une anecdote que Nicole m'a racontée...
Nicole avait interdit à son mari de la toucher pendant plusieurs jours, parce qu'il lui avait refusé un cadeau une bague ou un truc comme ça). Pour le faire saliver et regretter, Nicole mit des vêtement super moulants (en haut comme en bas). Son mari n'en pouvait plus, il avait la trique et il ne pouvait plus baiser sa femme... Il alla finalement chercher le fameux cadeau et put à nouveau profiter du corps et des gros nichons de Nicole...

La toute première fois où je suis "sorti" avec Nicole, je ne suis pas près de l'oublier.
On est dans la voiture. Je plonge la main sous son t-shirt, je lui dégrafe son soutif et, une fois ses divins trésors en mains, je lui dis: "Oh, p..., quelle paire de nichons..."
Puis on se roule quelques pelles et, tout à coup...
"Qu'est-ce qu'il y a, chéri?", me dit-elle.
Je lui réponds: "Désolé, mais je suis tellement impressionné par tes gros nichons que je viens de tout décharger dans mon pantalon..."

Quand on allait baiser dans l'appartement de sa copine, je montais les escaliers avec Nicole en lui mettant la main au cul... Elle n'y trouvait pas malice, elle savait qu'on était là pour ça...
Un jour, Nicole me dit: "Tu viens là-bas ce soir, et on se fera une petite baisette après...". D'accord, l'ennui, c'est que son mari est arrivé à la soirée (ce n'était pas prévu), et c'est lui qui est rentré avec Nicole à la maison pour la sauter gaillardement. Ce jour-là, j'ai raté mon coup...