Amateurs de gros seins

Un jour, dans son salon (j'avais facile, j'étais le chauffeur de son mari...), je demande à Nicole: "Toujours contente des services de ton mari, le colonel?"
Elle me répond: "Hier soir, on ne s'est pas gêné, il avait une trique terrible..."
Moi-même, j'en avais une "terrible" dans le pantalon à ce moment-là, rien qu'à mater Nicole...
Dès lors, j'ouvre tout de suite ma braguette et je lui montre mon gros canon.
Je dis à Nicole: "Hier, ton mari avait une trique comme celle-ci...?"
Réponse: "Oh non, chéri, la tienne, c'est réellement un canon de 75..."
Je l'ai sautée tout de suite sur le canapé du salon...

Salut ADGS,

Les histoires de Nicole te plaisent toujours autant?
Elles sont crues, je l'avoue, mais assez croustillantes, non?
Quand je repense à ses gros nichons, je bande encore très fort.
Je vais encore mettre d'autres histoires sur ce site.

Un après-midi, on avait échappé à son mari et on part se balader en voiture. Nicole avait mis un-shirt très, très étroit, qui faisait encore mieux ressortir ses énormes obus.
En roulant, je la matais depuis un moment et j'avais la trique...
Je lui dis: "Chérie, il faut qu'on s'arrête, j'ai envie de tes gros nichons."
J'en ai bien profité, pendant au moins trois-quarts d'heure, et la "balade" s'est arrêtée là.

Nicole me racontait qu'à 25 ans, elle se faisait aborder en rue par de jeunes gars qui salivaient en disant: "Ouh, là, quelle paire de nichons. Tu viens baiser, ma belle?"
Nicole en riait, mais elle n'a évidemment jamais répondu à ce genre de sollicitations. C'était une bonne baiseuse à gros nichons, mais pas une pute ni une poufiasse.

A une certaine époque, Nicole a travaillé dans un magasin, style épicerie (j'ai oublié).
Un gamin (17 ou 18 ans) venait tous les matins pour saliver sur les gros nichons de Nicole.
Elle lui demande un jour: "Ca va, un tel?"
Réponse: "Cela irait encore mieux si tu enlevais un bouton de plus..."
Nicole s'est exécutée, pour lui faire plaisir, découvrant encore plus sa paire exceptionnelle, mais le gamin en question n'a pas pu aller plus loin, Nicole aurait catégoriquement refusé.

A propos de Nicole, j'étais fasciné par ses t-shirts ultra moulants (plusieurs numéros trop petits...) qu'elle mettait pour me faire plaisir et me faire bander.
Dans le divan, je lui roulais des pelles et je passais ma main sous le t-shirt (mon fantasme...) pour lui peloter ses gros nichons. Pendant ce temps, elle tenait ma grosse trique dans sa main.
Quand ces préliminaires étaient terminés, elle me disait: "Chéri, mets-moi dans la main dans la culotte...".
Je caressais alors sa moule toute humide. C'était un code entre nous: cela voulait dire qu'il était temps que je la baise...

Un soir, on revenait en auto de je ne sais d'où (25 km environ). La tante de Nicole conduisait. Très portée sur la bagatelle dans sa jeunesse, la tante nous avait dit de prendre place à l'arrière, Nicole et moi. "Prenez du bon temps, on ne vous le reprendra plus, et je ne regarderai pas...", dit la tante.
Nicole et moi, un peu gênés d'abord, on a fini par se rouler des pelles et, comme toujours, je me suis retrouvé avec ses gros nichons en mains.
Mais c'était un peu spécial, avec la tante à l'avant de la voiture...

Un jeudi de 5 à 7 où on avait rendez-vous dans l'appartement d'une copine à elle, le lit était à notre disposition, mais Nicole avait une autre idée (ou fantasme): "Viens dans un coin de la chambre et caresse-moi mes gros nichons", me dit-elle.
Aussitôt dit, aussitôt fait... Pendant ce temps-là, elle avait ma grosse trique en mains.
J'ai respecté ses désirs, puis enfin, on est allé au lit, où c'était quand même plus confortable...

Une seule fois, j'ai demandé à Nicole de me faire une pipe. Elle a essayé pour me faire plaisir, mais elle a renoncé après quelques secondes. Elle n'aimait pas cela. Comme quoi, on peut être une bonne baiseuse à gros nichons, mais d'un style plus conventionnel.

Dans le salon, chez la tante de Nicole, il y avait une peau de mouton. un jour, Nicole me dit: "Baise-moi là...".
Elle s'est aussitôt mise à poil.
Je me suis exécuté, alors qu'un lit bien confortable nous attendait. Nicole avait quelques fantasmes...